L'equipe de foot de Lille

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Championnat de France de football

Le championnat de France de football masculin, dénommé « Ligue 1 », est une compétition de football qui représente en France le sommet de la hiérarchie du football. La compétition se déroule annuellement sous forme d'un championnat mettant aux prises vingt clubs professionnels. Une saison du championnat commence en été et se termine au printemps suivant. La première journée de l'édition inaugurale se tient le 11 septembre 1932. Nommé « National » lors de la saison 1932-1933, le championnat prend le nom de « Division 1 » en 1933, avant de prendre son nom actuel à l'été 2002.

Le LOSC Lille Métropole est le tenant du titre de la saison 2010-2011. L'AS Saint-Étienne est le club le plus couronné avec dix titres de champion de France. L'Olympique lyonnais est le club qui a remporté le plus de titres consécutifs (7 entre 2002 et 2008).

Avec 63 saisons de présence en Ligue 1, le Football Club Sochaux-Montbéliard détient le record du nombre de saisons parmi l'élite. Le Football Club de Nantes détient quant à lui le record de longévité en Ligue 1 avec 44 saisons (1962 - 2007) consécutives. Le Paris Saint-Germain est actuellement le doyen de la Ligue 1 avec 37 saisons de présence.

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Après avoir remporté la Coupe de France 2011 face au PSG, Lille poursuit sa marche en avant avec une victoire à Sochaux 1-0 comptant pour la 36ème journée de Ligue 1. A deux journées de la fin du championnat de France, les hommes de Rudy Garcia comptent six points d’avance sur leur dauphin, l’OM.

Grâce à un but de Gervinho à la 53ème minute, Lille est venu à bout de Sochaux, une des équipes en forme du moment. Cette nouvelle victoire rapproche encore un peu plus la ville du nord du titre tant convoité de Champion de France 2011. Si mathématiquement, Lille ne peut pas encore réclamer sa couronne, il faudrait deux défaites cuisantes au club et deux belles victoires à l’OM pour que le titre leur échappe. Hautement improbable donc…

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Le champion, c'est Lille ! Grâce à son match nul (2-2) au Parc des Princes samedi soir, le LOSC est sacré champion de France 2011. Un titre qui récompense une saison extraordinaire des hommes de Rudy Garcia.

Après 57 ans d’attente, le LOSC est à nouveau champion de France, une semaine après avoir remporté la Coupe de France !

Prendre un point face au Paris-Saint-Germain suffisait aux Lillois pour rafler le titre. Mission accomplie samedi soir au Parc des Princes, grâce à des buts d’Obraniak et de Sow côté lillois, auxquels ont répondu Hoarau et Bodmer coté parisien.

Immédiatement après le coup de sifflet final, toute la ville de Lille s’est embrasée pour fêter ce titre tant espéré. Les joueurs défileront avec leurs deux trophées en bus à impériale dans les rues lilloises, ce dimanche à 11h30. On attend des milliers de supporters pour rendre.

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Lille. Un titre de champion de France et une Coupe de France, que demander de mieux pour les hommes de Rudi Garcia ? Près de 56 ans après leur dernier trophée, les joueurs du LOSC ont réalisé une très belle saison. Mais au-delà des titres, c’est surtout la consécration du beau jeu. Des attaques, des contre-attaques, des tirs, des gestes techniques, etc. Tous les acteurs et tous les spécialistes du foot français sont unanimes : Lille, c’est bien la meilleure équipe cette année.

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Moussa Sow. A onze minutes de la fin du match, Rudi Garcia a voulu rendre hommage à son attaquant. Une sortie et une immense ovation du Stadium Nord pour une saison incroyable. Avec un dernier triplé contre Rennes, l’attaquant Lillois finit meilleur buteur de Ligue 1 avec 25 réalisations. Un "hat-trick" comme une revanche contre son ancienne équipe. L’année dernière, Moussa Sow était en froid avec les dirigeants bretons. Rennes a choisi de s’en débarrasser et de le laisser partir sans indemnité de transfert, pour le grand bonheur du champion de France. A Rennes, on nourrit certainement quelques regrets…

Foot : Lille champion de France, une première depuis 1955

Lille peut désormais rêver d’un doublé Coupe-championnat… Lille a remporté la 6e Coupe de France de son histoire en battant le Paris SG 1-0 (mi-temps: 0-0) en finale, samedi au Stade de France. Le but de la victoire a été inscrit par Obraniak en toute fin de rencontre sur un coup franc excentré frappé directement qui n’a laissé aucune chance à Coupet (90e).

Le Losc, leader de la L1, n’avait plus soulevé de trophée depuis son succès en Coupe de France en 1955. Pour le Paris SG, tenant du titre, le dénouement est cruel mais les Parisiens, 4e en L1 à un point de Lyon, 3e, peuvent encore sauver leur saison en arrachant un billet pour la Ligue des champions.

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Lille a été sacré champion de France de football samedi à l'issue de son match nul au Parc des Princes contre le Paris Saint-Germain (2-2) lors de la 37e journée de Ligue 1.

Avec 6 points d'avance sur Marseille (2e), le Losc ne peut plus être rattrapé puisqu'il ne reste qu'une seule journée à jouer, le dimanche 29.

Déjà vainqueurs de la Coupe de France il y a une semaine, contre le Paris SG (1-0), les joueurs de l'entraîneur Rudi Garcia décrochent ainsi le deuxième doublé de l'histoire du club après celui réalisé en 1946. Il s'agit du troisième titre de champion de France obtenu par Lille après ceux de 1946 et 1954.

Comme lors de la finale de la Coupe de France, c'est le milieu de terrain Ludovic Obraniak qui a inscrit le premier but lillois, dès la 5e minute. C'est ensuite Mickaël Landreau qui s'est illustré en repoussant de nombreux tirs parisiens.

Le gardien lillois ne pouvait en revanche rien faire juste avant la mi-temps sur un but de Hoarau, à l'issue d'un coup franc sur lequel deux joueurs parisiens étaient hors-jeu.

Après un début de deuxième période très houleux, marqué notamment par les expulsions de Guillaume Hoarau puis Antoine Kombouaré, c'est Moussa Sow, le meilleur buteur du championnat (22 buts), qui redonnait l'avantage à Lille (59).

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Si la défaite de Lyon à Auxerre mercredi (4-0) lors de la 35ème journée de championnat a encore obscurci l'avenir de Claude Puel à l'OL, elle fait les affaires de l'équipe lilloise, désormais assurée de disputer la prochaine Ligue des Champions, sans passer par le tour préliminaire. Cependant, Lille reste dans la course pour réaliser un doublé cette saison. Samedi ils joueront la finale de la Coupe de France contre le PSG. Ensuite, les hommes de Rudi Garcia, qui comptent 4 points d'avance en tête de la Ligue 1, joueront les trois dernières journées de championnat avec l'objectif de décrocher le titre.

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Le LOSC n'a pas manqué son premier match de l'année 2010. Même s'il leur a fallu passer par la prolongation, les Lillois ont battu Rennes 3-1.

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Une bourde défensive et une expulsion de Gervinho, le LOSC est passé à travers sur le terrain de Monaco avec une défaite 1-0 qui pourrait relancer la course au titre si l'OM s'imposait dimanche contre Toulouse. Derrière, le PSG s’est relancé à Caen (1-2).

A Lille, on se méfiait particulièrement du déplacement chez le 18e monégasque, désireux de sauver sa peau en Ligue 1, peu importe l’adversaire. Pourtant, les Lillois ont donné le bâton pour se faire battre puisque c’est Rami, d’une passe en retrait manquée, qui envoyait Park vers l’ouverture du score (1-0, 12e). La mission devenait presque impossible à 10 contre 11, puisque Gervinho, en voulant se faire justice après une faute d’Adriano, récoltait un carton rouge. Lille repartait du Rocher avec une défaite, et la possibilité de voir son avance fondre à une seul unité si l’OM venait à s’imposer face à Toulouse dimanche.

C’est finalement avec un seul attaquant et des milieux de terrain décisifs que le PSG a retrouvé le chemin des filets et de la victoire à Caen. Dans une rencontre très attendue, Jallet, qui remplaçant un Giuly blessé aux adducteurs, a ouvert le score (31e) tandis que Chantôme, d’une frappe tonitruante (69e), a emmené les Parisiens vers une victoire 1-2 - Hamouma ayant réduit le score dans les arrêts de jeu - qui leur permet de recoller provisoirement à Lyon.

Si le PSG a su mettre fin à sa mauvaise passe, le Stade Rennais n’a toujours pas retrouvé le chemin de la victoire. Les « Rouge et Noir » vont avoir du mal à conserver leur place sur le podium s’ils continuent sur ce rythme. Privés de nombreux éléments, les Rennais se sont logiquement inclinés à Brest (2-0) sur des buts de Roux et Grougi. Si la victoire est précieuse pour les Finistériens, Rennes pourrait bien voir Lyon lui passer devant ce dimanche.

Ça gronde à Bordeaux après le pâle match nul concédé ce samedi à Chaban-Delmas face à la lanterne rouge Arles-Avignon (0-0). Inutile de préciser que la première titularisation d’André n’aura pas convaincu grand monde.

Dans les matchs pour le maintien, c'est match nul pour tous. Nancy, grâce à Vahirua, est revenu à hauteur de Valenciennes dans les derniers instants (1-1). Une rencontre qui s’est terminé à 10 contre 10, Bisevac puis Chrétien se faisant exclure. Auxerre fait donc la très mauvaise opération de la soirée puisque son match nul 2-2 obtenu en fin de rencontre face à Saint-Etienne ne lui permet pas d’éviter la 18e place laissée libre par Monaco. Enfin, dans le sommet du ventre mou, Lorient et Sochaux ont fait match nul 1-1.

Florent Balmont : « Je m'attends à un gros combat à Valenciennes »

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Malgré la belle victoire face à Montpellier qui a remis le LOSC en selle dans la lutte pour le podium, le milieu de terrain des Dogues ne s'enflamme pas et s'attend à un derby accroché demain (19 h).

On respecte beaucoup Valenciennes, c'est une très bonne équipe. En début de semaine, dans la presse, j'ai lu qu'ils disaient qu'on avaient une belle équipe, mais je m'attends à un gros combat. On sait ce qui s'est passé la saison dernière (défaite de Lille 2-0), il ne va pas falloir l'oublier. Il faudra montrer la même envie et la même qualité de jeu que face à Montpellier pour prendre des points. »

C'est toujours un match particulier ?

« Cela reste un derby, c'est toujours pareil. Par rapport au match aller (victoire de Lille 4-0), ils seront surmotivés. On en est conscients. On sera peut-être un peu plus attendus, mais avec l'effectif qu'on a et leretour des blessés, il va falloir confirmer. »

- Lille ne le dit jamais, mais l'objectif c'est la Ligue des champions ?

« Et après la défaite de Bordeaux, tout le monde disait qu'il ne fallait plus compter sur nous. Là, on bat Montpellier et on dit qu'on va jouer la Ligue des champions. Nous, on est vigilants. L'objectif du club, ce sont les cinq premières places... Après, ça peut aller très vite. C'est sûr que vu ce qu'on a montré, on aimerait bien accrocher la Ligue des champions. Mais les grosses équipes sont dans le coup et ils doivent normalement prendre les trois premières places. A nous de nous battre. »

Lille - Arles-Avignon : les réactions.

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Faruk Hadzibegic : « Je vais passer pour une pleureuse, mais à chaque match, on a un rouge. L'arbitre a pour rôle de protéger les joueurs et le jeu aussi. Faut faire preuve de psychologie. Je me pose des questions. 5-0, ça ne fait pas plaisir. Bravo à Lille et bonne continuation. C'est un club qui travaille bien qui progresse et je lui souhaite le mieux. On ne peut pas discuter avec le corps arbitral. Je ne crois pas que si j'avais été sur le banc de Marseille ça se serait passé comme ça. Il nous reste à continuer de travailler et à se battre le plus possible pour faire de notre mieux. »

Rudi Garcia : « On avait gagné à Nice et ce n'est pas si vieux que ça... On est contents de reprendre notre première place comme c'était l'objectif ce soir. On a soigné le goal-average c'est important. On avait tout à perdre dans ce match-là. On a fait une première mi-temps moyenne, mais on a été mieux dans la deuxième. C'était mieux. On pensait d'abord à faire une bonne performance, ce qui nous permettait de gagner, puis d'être sérieux jusqu'au bout pour soigner le goal-average. On a été réalistes, efficaces, on va pouvoir regarder sereinement le match de Marseille demain. Le plus important, c'est nous et après on regarde les autres. Ce qui compte c'est d'avoir gagné. Après, que ceux qui jouent le lendemain aient l'obligation de gagner, on a vécu ça souvent cette saison. »

Ludovic Obraniak : « Ça n'a pas été évident en première mi-temps et surtout pas suffisant au niveau de l'envie et du jeu. On a su faire la différence quand même en pratiquant un jeu assez laborieux. Le coach a remis les choses au clair à la mi-temps et ça a été mieux ensuite. Que ce soit 5-0 ou 1-0, l'important, c'était de gagner ce match pour nous relancer. Ça va nous faire du bien parce que là, on a deux matchs à l'extérieur. On a eu un petit coup d'arrêt, ça peut arriver à n'importe quelle équipe. Ça nous est arrivé à sept matchs de la fin et pas souvent cette saison. Lyon et Marseille sont deux grosses cylindrées et quand ils tournent bien, ils reviennent vite, c'est normal. »

Mathieu Debuchy : « C'était convenu avant le match que je tire les penaltys. Yo n'a pas été en réussite sur l'exercice. Le coach a fait son choix. Ça fait plaisir, ça doit remonter à mes premières saisons. On est redevenus leaders, mais on ne calcule pas trop le classement. On s'attache à faire de bonnes performances et on verra à la fin du championant. On a manqué de rythme et de changement de rythme. On s'est dit les choses à la mi-temps et ça a porté ses fruits. Qu'on soit premiers ou seconds, ça n'a rien changé. On se rapproche de la fin du championnat, on prend les matchs les uns parès les autres. Ona deux matchs à l'extérieur qui seront difficiles, à nous d'essayer de les gagner. Tous les matchs vont être difficiles jusqu'à la fin. Ça va être serré jusqu'au bout et ça pourrait se jouer au dernier match à domicile contre Rennes, ce serait beau. »

Lille déploie ses ailes

Mené au score, Lille est parvenu à renverser la vapeur pour au final s'imposer sur la plus petite des marges face à Brest (2-1), ce samedi, à l'occasion de la 28e journée de Ligue 1, grâce à des buts signés Gervinho et Moussa Sow. Les Dogues font ainsi une belle opération au classement général puisqu'ils relèguent à présent Rennes et Lyon à cinq et six longueurs, les deux écuries s'étant neutralisées (1-1) au stade de Gerland.

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Si la force d'un champion est de savoir gagner des matches sans les dominer, alors Lille a le profil. Définitivement. Le Losc a déjà prouvé plus d'une fois cette saison qu'il pouvait allier efficacité et élégance. Mais à Brest, ce samedi soir lors de la 28e journée de Ligue 1, le leader n'a pas été brillant. Loin de là. Ce qui ne l'a pas empêché de l'emporter après avoir pourtant été mené au score (2-1). Le résultat est le même qu'à Marseille il y a quinze jours, ou contre Valenciennes le week-end passé. Il prouve que, même dans la difficulté, les Dogues savent faire front. "Toute la France attend qu'on tombe", affirmait Adil Rami avant la rencontre. Elle attendra encore un peu.

Ce troisième succès d'affilée en championnat permet aux hommes de Rudi Garcia de conforter leur première place et de mettre sous pression leurs poursuivants directs, Rennes, l'OL et l'OM en tête. Des outsiders qui, à force, vont finir par se dire que cette équipe de Lille est décidément indétrônable. Complètement absente en première période, au point que ce sont les Brestois qui ont pris les commandes du jeu, la formation nordiste a su faire le dos rond, quitte à prendre un but, pour mieux se redresser ensuite. Il a fallu deux éclairs de Gervinho, buteur puis passeur décisif, pour délivrer un Losc qui, une fois devant au tableau d'affichage, n'a plus vraiment tremblé. Ou presque...

Lille peut remercier Landreau

Brest peut avoir des regrets de ne pas avoir pu conserver le contrôle des débats après l'ouverture du score signée Lesoimier, d'une frappe soudaine qui a trompé un Landreau excellent par ailleurs (1-0, 18e). Un but mérité tant les joueurs d'Alex Dupont ont, dans un premier temps du moins, privé les Lillois de ballon en pressant haut et en se projetant vite vers l'avant. Dommage pour eux que cette vigilance n'ait pas été aussi marquée sur l'égalisation avant le repos de Gervinho qui, après un une-deux avec Hazard, a profité de l'immobilisme de la défense adverse pour venir tromper Elana au premier poteau (1-1, 39e). Ce même Elana n'a, au retour des vestiaires, pas été non plus exempt de tout reproche sur la mine en angle fermé de Sow, servi par un Gervinho une nouvelle fois insaisissable et auteur sur le coup de son dix-neuvième but de la saison en Ligue 1 (2-1, 53e).

Dire que la victoire de Lille est imméritée ne serait pas totalement juste, car Sow (43e) et Cabaye (59e) ont eu des opportunités de corser l'addition. Mais pas entièrement faux non plus puisque sans un très bon Landreau, qui a réalisé plusieurs parades décisives devant Ayité (42e, 75e), Grougi (65e) Lesoimier (66e) et Poyet (80e), les Dogues ne s'en seraient pas sortis. "On a concédé pas mal de situations, a d'ailleurs reconnu le gardien nordiste. C'est le deuxième match où on en concède un petit peu. On a souffert à Brest. Ce n'est jamais facile de venir ici et de repartir avec les trois points. On va avoir un break, ça va faire du bien. Je pense que dans le jeu, on a été meilleurs certains matches que ce soir. On aurait pu maîtriser un peu mieux notre sujet. On va attendre le résultat des concurrents directs. Il est encore tôt. Ça ne veut pas dire qu'on n'a pas d'ambition. Il va falloir continuer à prendre des points et à être sérieux."

Montpellier fait chuter Lille

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Comme en Coupe de la Ligue il y a quelques mois, Montpellier a battu Lille dimanche après-midi pour le compte de la 24e journée de L1 (1-0). Les Nordistes restent bien évidemment leaders mais avec une marge moindre sur leurs poursuivants.

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Montpellier : Belhanda (84e)

«A chaque fois que l'on est venu ici et qu'on a joué, on a perdu», glissait Rio Mavuba au micro de Canal + à la mi-temps du match de Lille à Montpellier. Pour éviter de connaître le même sort qu'en Coupe de la Ligue en novembre dernier (2-0), le LOSC avait donc décidé de laisser ses belles intentions aux vestiaires sur la pelouse de La Mosson. Mais à vouloir jouer contre nature, les Nordistes se sont brûlés les ailes… C'est bien simple, hormis un déboulé d'Hazard dans les premiers instants de la partie que Gervinho n'avait pu convertir en but (3e), et deux tentatives timides de De Melo (71e) et Chedjou en deuxième mi-temps (77e), les Dogues ne se sont jamais montrés dangereux dimanche après-midi.

Et Montpellier en a profité. Souvent par l'intermédiaire d'Estrada, qui par trois fois aurait pu ouvrir le score avec sa patte gauche (27e, 44e, 64e). Yanga-Mbiwa, lui, aurait pu - dû - obtenir un penalty suite à une intervention de Béria dans la surface (41e). Sans être forcément impériaux, les Héraultais semblaient partis pour obtenir un bon nul face aux leaders du championnat… Mais c'était sans compter sur la chevauchée victorieuse de Belhanda en fin de match (1-0, 84e). Après 11 matches d'invincibilité, le LOSC a donc fini par tomber. Pour le plus grand bonheur de ses poursuivants.

Le joueur du match Dans un match loin d'être emballant en raison notamment d'un nombre incalculable de petites fautes, Younes Belhanda a réussi à tirer son épingle du jeu. Percutant sur son flanc droit, le Marocain a été l'un des rares à faire des différences balle au pied. Et en plus, il a marqué l'unique but de la partie.

On n'a pas aimé Pour son 100e match sur le banc du LOSC, le jour de ses 47 ans, Rudi Garcia s'est trompé. En choisissant de ne pas faire jouer son équipe comme elle sait le faire, l'entraîneur nordiste s'est tout simplement sabordé.

Football – Le match LOSC Lille Caen à suivre en direct streaming

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Lille, leader du classement affronte ce soir l’équipe de Caen dans le cadre de la 29ème journée de Ligue 1. Un match important pour les joueurs de Rudi Garcia qui espèrent ainsi creuser leur avantage sur l’Olympique de Marseille en terme de point.

Caen est de con côté 13ème du championnat avec un total de 35 points soit 20 de moins que leurs adversaires du jour.Les hommes de Franck Dumas restent sur une victoire face à Arles-Avigon en 28ème journée.

Le match est à suivre en direct à partir de 19h00 sur la chaine Foot +. Une rencontre également disponible en streaming sur le web.

Lille - Caen : les réactions lilloises

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Rudi Garcia (entraîneur du LOSC): « On avait un double objectif : retrouver une bonne dynamique et le faire avant une éventuelle prolongation. J'avais aligné une équipe pour gagner. On a un derby difficile à préparer à Valenciennes dimanche. Une coupe nationale est trop aléatoire pour être un véritable objectif. Ca nous fera neuf matchs d'affilée à jouer au moment des quarts de finale. Caen est une équipe à l'aise chez les gros. On l'a vu à Marseille et à Lyon où elle s'était imposée. Le plus important était notre jeu. C'est une bonne nouvelle aussi de voir nos attaquants marquer des buts. On pouvait penser que les états de forme de chacun n'étaient pas le même. Mais on a eu 70 % de possession de balle avant même l'expulsion de Nivet. J'ai dit aux arbitres de protéger les joueurs. Je n'ai en tout cas pas influé sur leurs décisions. Dans ce match, on s'est montrés patients. On a également eu de l'efficacité sur les phases arrêtées où nous étions faibles depuis le début de saison. Contre Marseille, nous avions été défaillants dans la gestion du match. Cette fois, nous avons été bon dans ce domaine ». Ludovic Obraniak (joueur du LOSC) : « Cela faisait pas mal de temps qu'on courait après ce genre de match. Disons aussi qu'on n'avait pas la réussite avec nous. Cette fois, c'est tout bénéfice ! L'important, c'est évidemment la qualification. En plus, nous y avons ajouté la manière. Cette coupe, on va la jouer à fond. C'est la manière la plus rapide d'aller chercher une place européenne. Il eut été dommage de passer à côté. Il fallait repartir sur une bonne dynamique et une période positive. Il est juste dommage d'avoir pris ce but trop vite après notre ouverture du score. Mais, ensuite, on a réussi à faire la différence. C'est une belle soirée ».

Adil Rami (joueur du LOSC) : « On prend un but en contres et c'est frustrant. Nous devrons nous montrer plus attentifs à l'avenir sur ce genre d'actions. Mais, le plus important, c'est la qualification. Je le dis tout net : la manière, même si elle a été présente, on s'en tape un peu ! Sur un terrain gras, en coupe, l'essentiel est de passer. On sait que la route sera longue jusqu'au Stade de France. Alors, on prendra chaque tour comme ils viendront. Le chat noir qui nous touchait depuis quelques matchs est en train de nous quitter. On doit continuer à travailler, à donner le maximum et à persévérer. Mais, ce soir, c'est une bonne prestation pour toute l'équipe »

Lille peut être frustré

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Que c'est dur pour le Losc! Dimanche après-midi, après avoir mené pendant 77 minutes à Auxerre, Lille est reparti avec un tout petit point (1-1) lors de cette 22e journée de Ligue 1. Les Dogues, à cause d'un but hors-jeu de Dariusz Dudka (86e) manquent donc l'occasion de prendre sept points d'avance sur leurs premiers poursuivants parisiens et rennais. Le magnifique retourné de Moussa Sow (9e) n'aura donc pas été suffisant... Le film du match

Certains diront qu'il y a une justice... Au match aller, rappelez-vous, le Losc s'était difficilement imposé dans le Nord contre Auxerre (1-0), grâce un but dans le temps additionnel de Moussa Sow, servi par Gervinho alors hors-jeu. Comme si le destin devait rétablir un certain équilibre, Auxerre a stoppé le Losc en plein vol ce dimanche, en égalisant tardivement et sur un but entaché d'une position de hors-jeu.

Sow joue les équilibristes

Pourtant, comme lors du premier affrontement entre Nordistes et Bourguignons, Sow y est allé de son but, et pas le moins joli de ses seize inscrits depuis l'entame du championnat. Après à peine dix minutes de jeu écoulées, le Sénégalais profitait d'un mauvais renvoi de la tête de Jérémy Berthod pour réaliser le geste de ces 90 minutes (et des poussières): un retourné acrobatique majestueux qui terminait sa course dans les filets d'un Olivier Sorin trop court (9e, 0-1).

Entouré de Gervinho et Eden Hazard, le meilleur artificier de l'élite semblait en jambes, lui qui avait offert le premier frisson aux habitués de l'Abbé-Deschamps d'une belle frappe soudaine, quelques instants auparavant (5e). Sans Benoit Pedretti, resté sur le banc pendant toute la rencontre, Auxerre souffrait dans le premier acte. Mais, une fois n'est pas coutume, Hazard affichait un égoïsme inhabituel pour frapper dans un angle impossible, quand deux solutions s'offraient à lui dans la surface (20e).

Dudka, hors-jeu, égalise

Seules quelques tentatives sur coups de pied arrêtés permettaient en fait aux hommes de Fernandez de conserver un mince espoir de revenir au score. Anthony Le Tallec, par deux fois de la tête (11e, 12e), Valter Birsa, d'un coup franc vicieux (25e), et Dariusz Dudka, d'une déviation à bout portant (56e), inquiétaient l'arrière-garde des Dogues. Des troupes de Rudi Garcia qui auront de leur côté raté l'occasion de creuser l'écart dans cette partie pour se mettre à l'abri. En termes d'acte manqué, Gervinho obtenait la palme après avoir réalisé un mauvais contrôle devant Sorin, l'empêchant de tenter sa chance (57e). Franck Béria aura pu enfiler lui aussi le costume du sauveur, mais sa frappe sèche à l'entrée de la surface passait quelques centimètres au-dessus de la cage adverse (65e).

Comme l'avait prédit Yohan Cabaye à la mi-temps, à défaut de marquer le deuxième but, le Losc se mettait en danger et cédait en toute fin de match. Sur un centre venu de la gauche, Le Tallec effleurait à peine le cuir pour Dudka sur sa droite, lequel crucifiait Mickaël Landreau en position de hors-jeu (86e, 1-1). La fin des espoirs pour Lille de s'envoler en tête du classement. "A des périodes, ça nous a sourit, là, moins. Ça fait partie des aléas d'une saison. On ne va pas gagner tous les matches, la série continue même si on aurait préféré prendre trois points", analysait sobrement Landreau au terme de la rencontre. Pour sûr, le Losc n'a pas à faire la fine bouche, lui qui compte à ce jour cinq points d'avance sur Paris et Rennes. Plusieurs formations rêveraient d'une telle frustration dans ce contexte...

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